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Les faits (et gestes) d'une fée
Les faits (et gestes) d'une fée
  • Les faits d'une fée qui entame son petit périple planétaire. Première étape : le pays des lutins (et de la Guiness!), l'IRLANDE. Si vous voulez me suivre dans mon périple, c'est avec grand plaisir que je vous le ferai partager.
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Les faits (et gestes) d'une fée
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27 novembre 2007

Deux mois et des poussières.

Salut à toi l’ami,

Qui a dit qu’il pleuvait tout le temps en Irlande ? Voilà deux mois (putain déjà !) que je suis arrivée dans la capitale du vert pays et je n’ai vu ni mouton’s, ni rainbow et pas plus de leprechauns (prononcer « lépre-conne »). J’ai bien croisé deux ou trois averses, mais pour l’instant la chance est avec moi (comme toujours) et même si on ne peut pas dire :

« Un immense ciel bleu sert d’écrin à un soleil chaud et resplendissant »,

on peut quand même dire :

« Dans l’ensemble il fait pas un temps trop pourri. »

 

Bref, la météo on s’en fout tu me diras l’ami, alors passons aux choses sérieuses maintenant. Nous allons donc aborder dans un ordre aléatoire : le boulot, Dublin, les rencontres, les projets…

 

CHAPTER ONE : DUBLIN

 

Les commentaires qui vont suivre n’engage que son auteur (c'est-à-dire moi !) et ne reflète peut-être pas l’exacte réalité de ce qu’est Dublin, deux mois me semblant un peu courts pour faire le tour d’une ville, si petite soit-elle.

 

Et pour commencer parlons donc des avantages de la capitale irlandaises : sa taille « humaine ». En effet j’habite et je travaille dans deux parties opposées de la ville mais je peux sans problème me rendre à pied à mon travail tous les jours. Je pourrais, dans l’absolu, prendre le bus et m’éviter ainsi plus d’une heure de marche quotidienne, mais non :

- premièrement, parce que les horaires de bus dépendent d’un calendrier astrologique dont je n’ai pas encore saisis le fonctionnement et passer quarante minutes à attendre un hypothétique bus me rebute. La différence entre un arrêt de bus burkinabé et un arrêt de bus irlandais c’est qu’au moins au Burkina ils ne prennent même pas la peine d’afficher les horaires, qui dans les deux cas dépendent plus de l’âge du capitaine que du trafic ;

- deuxièmement, parce qu’une heure de marche par jour fait du bien à ma santé en général et au galbe de mes jambes en particulier (qui sera bientôt parfait !).

 

Tu penses peut-être, l’ami, que le fait de me rendre à pied à mon travail me permet d’éviter les embouteillages. Oui, mais c’est sans compter sur les embouteillages « piétons » de la ville ! Voilà, à mon sens, un inconvénient dans Dublin : trop de monde dans les rues ! Non, l’ami, je ne suis pas devenue aigrie et associable après six semaines en Irlande, mais je dois bien avouer que je m’étais habituée au confort de Manosque, cette petite bourgade du Sud de la France où tu peux circuler tranquillement (enfin sauf le samedi matin en plein mois de juillet, et jusqu’à ce que tous les Iteriens débarquent). Peut-être que tu penses que j’exagère l’ami mais je t’assure que si un jour j’arrive en retard au boulot, je n’aurais pas peur de dire à mon patron que c’est à cause des embouteillages sur O’Connell et Grafton Street, même s’il sait que je viens bosser à pied ! Le samedi après-midi il faut que je prévois ¼ d’heure de plus pour traverser la ville et quand on sera en plein préparatifs de Noël, j’ose même pas imaginer.

Parfois ça me rend dingue et d’autres fois je m’imagine dans un vieux jeu vidéo sur Atari ; je suis dans mon vaisseau spatial et je dois éviter les ennemis qui arrivent en face de moi…ouais, ok, quoiqu’il en soit, ça me rend dingue, dans un sens ou dans l’autre.

 

Y’a un autre truc qui me déplait ici (même si ça n’est pas important puisque ça ne me concerne pas directement) ce sont les beuveries du week-end. Déjà avant de parler de ces orgies liquides en elles-mêmes il convient de préciser que par « week-end » beaucoup de Dublinois entendent « du jeudi soir au dimanche soir ». Mais ça n’est qu’un détail. Le plus important dans cette histoire c’est le nombre de litres d’alcool ingurgités par personne dans une même soirée !! Et ici on peut dire que l’égalité homme-femme est respectée. Certains trouvent ça « cool », pour ma part je trouve le spectacle le plus souvent pathétique. Il devient particulièrement affligeant quand au coin d’une rue on croise une jeune et belle blonde avec une robe aussi courte que ce qu’elle doit être chère et des escarpins aussi hauts que ce qu’ils doivent être inconfortables, en train de vomir son « lunch vegetarian » après trois Guinness de trop.

 

Bref assez parlé de la ville pour cette fois, passons à un sujet qui me concerne plus directement :

 

CHAPTER TWO : LE TRAVAIL

 

Après avoir déposé une ou deux dizaines de CV dans différents pubs et bookshops je décidais d’arrêter le massacre de la forêt amazonienne et de me mettre à l’air informatique : direction le cyber et envoi de CV par mail.

Après avoir envoyé une demi-douzaine de CV (aussi parfaits que ce qu’ils étaient faux) j’ai reçu un appel le soir même d’un certain David. J’avais RDV le lendemain à 15h30 pour un entretien. A 18h30 je me retrouvais déguisée en pingouin aux milieux de types en costumes-cravates pour faire un essai. A 22h30 j’étais embauchée. Ca à l’air simple comme ça, mais aujourd’hui encore quand je me lève pour aller bosser, je me demande « Mais pourquoi diable m’a-t-il embauché moi ? N’y avait-il personne d’autres de disponible dans une ville de 400 000 habitants ?!? ».

 

Je m’explique l’ami et te donne plus de détails sur mon boulot et mon recrutement. J’avais postulé pour un job de serveuse et je pensais tomber dans une sorte de grande cafét’ (comme il y en a des centaines par ici) ou dans un petit resto. Je décidais d’aller vérifier sur internet pour voir où j’allais tomber…et voilà ce que j’ai pu voir :

http://www.sghc.ie/

photo_dining

 

photo_guest

photo_reading

Evidemment quand je suis arrivée dans le lieudit j’ai été un peu impressionnée. J’ai passé une heure à discuter avec David, le manager. Je comprenais parfaitement ce qu’il me disait, je savais ce que je devais répondre, mais rien ne sortait de ma « fuc… french mooth » ! J’ai quand même réussi à lâcher quelques mots du genre : « Anyway, the customer is the King, and he’s always right. » Ca a eu l’air de suffire puisqu’il m’a demandé de revenir deux heures plus tard pour un essai.

 

A mon sens l’essai n’était pas des plus concluant puisque je ne connaissais quasiment aucun vocabulaire lié à la circonstance et mon service était des plus maladroits. Finalement là encore ça eu l’air de lui suffire et il m’a demandé de revenir le lendemain à 11h00 pour le lunch. Comme je lui avais dit que j’avais déjà bossé dans un resto il ne lui a pas semblé nécessaire de m’expliquer les règles rudimentaires du service. Sauf que je n’avais en fait jamais travaillé en temps que serveuse. Mikon, un brésilien avec qui je bosse me demande, après que j’ai eu débarrassé les entrées :

« - Did you tell the chef which table is away ?
- Heu...no.
- How can he know, if you don’t say to him?”

Hé, hé, ça c’est une bonne question !! Finalement j’ai utilisé la bonne vieille technique :
1) Observation,
2) Action,
et je dois dire qu’après un mois de travail j’étais assez contente de moi. Il restait, il reste encore à ce jour, quelques bourdes…mais en général ça passe.

 

A – Différence entre « ice » et « glass ».

 

Tu connais les faux-amis l’ami ? Je ne te parle pas du type qui se dit être ton pote et qui t’abandonne telle une vieille chaussette dès que tu en as besoin. Non, il s’agit ici des mots que tu crois connaître ou reconnaître parce qu’ils sonnent comme du français, mais qui en fait ont un tout autre sens.

Prenons un exemple :
GLASS ≠ GLACE, mais
GLASS = VERRE.

Ô combien de fois un client m’a demandé « a fresh glass » et s’est retrouvé avec une tasse remplie de glaçons au lieu d’avoir un verre propre !

 

B – Espagnol au menu.

 

Petit lexique nécessaire à la compréhension de ma bourde n°2 :
SPANISH = ESPAGNOL
SPINACH = EPINARD.

Un client demande à avoir son agneau sans épinard (lamb without spinach), des fois que son taux de cholestérol ne soit pas assez élevé il décidait de prendre des frites à la place ! Je rentre la commande sur l’ordinateur, mais, évidemment, j’oublie de préciser à propos des épinards. Je débarque donc en cuisine et demande à Pav (le cuistot) :

« - Pav, table 4, can I have the lamb without spanish?
- ... (air étonné de Pav, qui se demande bien ce que veux la french girl pour la table 4)
- What ? It’s not possible to have a lamb without spanish ?
- Well, actually, I think it’s not possible to have a lamb WITH spanish, but if you want it WITHOUT spinach, it’s OK.
- Oups, I made a little mistake...!”

Il va sans dire, éclat de rire général dans la cuisine. Cinq minutes plus tard :
« - Sweetie, your lamb without spanish, without italian, without spinach as well, is ready !”

Deuxième éclat de rire...

 

C – Non c’est pas sale !!

 

L’ami, toi qui lit ce passionnant et palpitant récit derrière ton écran d’ordinateur, tu me connais et tu sais que mes cheveux sont colorés au henné depuis des années. En effet, voilà peut-être pas loin de 10 ans que j’ai découvert ce produit magique et que depuis je n’ai plus su qu’elle était la véritable couleur de mes cheveux.

Ma tignasse poussant plus vite que la mauvaise herbe dans un marais j’ai du aller chez le coiffeur après deux mois à Dublin et par la même refaire ma couleur, ma coupe laissant apparaître des racines terneusement fade (ou fadeusement terne !). Bref, il fallait agir au plus vite, l’heure était grave. Le ciel est gris, les rues sont grises, les chats aussi…il fallait que je mette de la couleur dans cette ville, et ça passait par une bonne vieille coloration au henné dans mes cheveux.

Je me rend en ville, trouve une boutique arabe et un henné auburn en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je rentre à la maison, prépare le matos et commence l’opération. Ceux qui connaissent le henné savent que c’est bon pour les cheveux mais ce produit est aussi et surtout utilisé par les femmes arabes pour se décorer les mains de motifs orange foncé à l’occasion de mariages ou de cérémonies importantes. Et que la couleur orange foncée passe à un orange plus clair puis à un jaune-brun avant de disparaître totalement…au bout de plusieurs semaines ! Tout ça pour dire que deux heures après mes cheveux avaient retrouvés leur couleur habituelle, mais mes mains étaient assorties aussi !

Après avoir passé une heure à m’abraser les doigts à coup de Javel je décidais de garder le peu de peau qu’il me restait sur les mains, quand bien même elle fût orange ! Le lendemain au travail tout le monde se demandait ce que cette « crazy french girl » avait encore fait. Je leur expliquais donc l’histoire du henné et de mes cheveux et les rassurais à propos de ma consommation de tabac, mes doigts orange faisant penser à certains que je fumais trop, et que j’étais incapable de tenir une cigarette entre deux doigts seulement !

J’essayais ensuite de cacher tant bien que mal mes mains pendant le service, mais je ne peux pas apporter mes assiettes avec les pieds !!

 

Bon pour les bourdes au travail ça ira pour aujourd’hui…y’en aura sans doute d’autres à raconter, mais je laisse un petit suspens…

 

CHAPTER THREE : LES RENCONTRES

 

Les rencontres que j’ai faites sont principales celles du taf, mais il y en a eu quelques autres…petit listing rapide, histoire que tu ne sois pas perdu l’ami quand je parle de quelqu’un (l’ordre est aléatoire) :

 

- Jérémy : français, environ 25 ans. C’est le cousin de Sophie, il est sur Dublin depuis février 2007 et il m’a très gentiment accueilli chez lui et ses potes durant six semaines…que j’ai passé à dormir sur le canapé dans le salon. C’était rustique, c’était sympa, c’était roots, c’était cool.

 

- Lionel, Vincent, Thomas, Grand Jérémy : les colocs de Jérémy, tous français.

 

- Lisa : copine australienne de Lionel.

 

- Edita : copine polonaise de Grand Jérémy.

 

- Evelyne, Sarah : copines australienne de Lisa avec qui j’ai partagé le salon pendant quatre semaines.

 

- Raymund : irlandais, environ 30 ans. Un type que j’ai rencontré par hasard, qui s’intéresse au cinéma, au théâtre, à la France et avec qui je vais boire des chocolats chauds au Café en Seine.

 

- Eléonore : française, environ 25 ans. Une nana que j’ai rencontrée par hasard chez Manu quand j’ai squatté chez lui pendant le mois d’août. Française, elle vit à Dublin depuis plusieurs années, a un copain irlandais et parle parfaitement anglais. Elle s’intéresse aussi au théâtre et à l’art en particulier et nous essayons de déjeuner ensemble une fois par semaine pour se raconter les derniers potins et refaire le monde à l’occasion.

 

- Sabri : français, environ 30 ans. Mon colocataire, celui grâce à qui j’ai trouvé un appart’ sympa, pas cher, et rapidement.

 

- Fabien : français, environ 22 ans. Un autre de mes colocataires, étudiant, il passe 5 mois à Dublin en stage à Trinity College.

 

- Maximo : italien, 25 ans. Le dernier arrivé dans la maison, il bosse avec Sabri chez HP dans un call-center, parle assez bien anglais, est sympa et marrant.

 

- Eileen : irlandaise, pas d’âge. Je bosse avec elle dans la dinning-room. Elle est serveuse dans cet établissement depuis plus de 10 ans, connaît bien le boulot et les clients. Sympa, rigolote, parfois rabat-joie, d’autres fois un peu dingue, mais dans l’ensemble super.

 

- Mikon : brésilien, 24 ans. Il bosse avec Eileen et moi dans la dinning-room. Froid au début, il s’est rapidement révélé être un gars super sympa et avec qui on se marre bien au taf.

 

- Rex et Rodel : philippins, pas d’âge. Ils sont frères et travaillent tous deux depuis 4 ans au club, adorables. Parfois Rodel se montre un peu trop démonstratif et me harcèle depuis deux semaines pour que je lui prouve que les français sont les champions du monde du baiser, mais malheureusement il devra me croire sur parole car je ne suis pas intéressée.

 

- Pav : polonais, environ 35 ans. Il travaille comme chef depuis 2 ans au club. Le premier jours il m’a incendié parce que je ne rangeais pas le beurre dans le bon frigo, maintenant il m’appelle sweetie. Pav, c’est un dur au cœur tendre. Petite boule de nerf d’une bonne centaine de kilos (voir plus !) qui fume deux paquets de clopes par jour.

 

- Jayson : irlandais, environ 35 ans. Second chef au club. D’une gentillesse !! Toujours calme, toujours gentil. Un adorable type avec un accent à couper au couteau que j’ai encore du mal à comprendre aujourd’hui.

 

- Wayne : irlandais, 37 ans. The head chef. Ne supporte pas qu’on l’appelle “Chef”, surtout quand c’est moi…ce que je ne me gêne pas pour faire au moins une ou deux fois dans la journée. Il m’a dit que si je continuais à le taquiner avec ça il me couperait en morceaux me ferait cuire comme un kebab et me servirait en plat du jour…mais je sais qu’il n’en fera rien…enfin j’espère ! Wayne est un type adorable, drôle, parfois bougon mais ça fait partie du personnage. Il a un trèfle tatoué sur l’omoplate gauche, que j’ai vu un jour où j’entrais dans son bureau pendant qu’il se changeait et le trouvais en caleçon au milieu de la pièce. Je le jure : j’ai pas fait exprès !! Enfin j’en ai quand même profité pour vérifier si l’apollon avait un corps d’athlète. J’aime beaucoup Wayne et il me le rend bien.

 

- Sylvia, Julie, Rebecca, Martin, Andrew, Adam, Jimmy, Michal, Alex, Jo, Peter, Kate... : le staff du club.

 

- David : irlandais, environ 45 ans. Le manager du club. Il est petit, homo, toujours tiré à quatre épingles, parfois maniaque à l’excès, parfois complètement stupide ou illogique, mais quand même assez sympa dans l’ensemble…et puis je ne peux pas dire du mal du type qui m’a permis d’entrer dans ce club et d’obtenir ce super job !

 

CHAPTER FOUR : LES PROJETS

 

C’est un long article que celui-là l’ami, aussi je vais faire court pour le chapitre 4 et développerai mes projets à long terme plus tard. Les projets à courts termes étant :

1- Organiser l’arrivée de mes parents dans 4 jours !

2- Améliorer mon anglais et essayer de faire des progrès significatifs d’ici Noël.

3- Faire des photos.

 

 

APPEL AUX DONS

 

L’ami, tu dois savoir deux choses :

a- je n’ai toujours pas internet à la maison et il m’est par conséquent difficile de donner des nouvelles régulièrement, mais je n’ai oublié personne après deux mois d’absence et j’espère qu’il en ait de même pour toi ;

b- de plus j’ai eu un virus sur mon ordinateur le mois dernier qui a effacé TOUTES mes données : plus de photos, plus de lettres, plus de musique… Aussi l’ami, si tu te sens l’âme charitable tu peux m’envoyer par courrier un CD de MP3 que je pourrais écouter à loisir sur mon PC, n’ayant ni télé, ni radio, ni internet tu peux imaginer qu’il s’agit de quelque chose d’important !

 

Je donne mon adresse à ceux qui voudraient m’aider dans ma lutte, ou qui voudraient simplement envoyer un petit courrier :

 

Melle OLLIVIER Blandine
35, North Great Charles Street
Dublin 1
Irlande

 Portable : 003.538.123.99.07
Maison : 003.53.18.55.40.92

 

Love.
The french hippie gypsie leprechaun
(le nouveau nom que Wayne m’a trouvé aujourd’hui...
ne me demande pas pourquoi l’ami...je le trouve
un peu long, mais bon!).

La prochaine fois : photos de Dublin, de ma maison, et d'autres news diverses et variées!

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Commentaires
E
ah, Blandinette, ça fait tout chaud de te lire, et puis même à distance on se marre bien...Je t'imagine trop bien déguisée en pingouin dans la salle à manger!<br /> Bon va falloir que tu fasses un petit effort au niveau des rencontres, le reste ça a l'air pas mal, si tu veux que je me trouve un petit billet pour venir jusqu'à toi...Le seul mec qui apparait dans tes connaissances et qui a à peu près mon âge, il est homo!!! Blandine, t'assure pas, tu penses pas aux cops restées en France à fréquenter toujours les mêmes petits frenchies désespérants..<br /> Bref, je compte sur toi, et en attendant de t'écrire plus longuement, je t'embrasse et bien le bonjour à tous les joyeux lurons que tu fréquentes........
S
Ah, quel bonheur de lire ces formidables news sur ce formidable blog... Tu n'as rien perdu de ton talent et de ton humour ! OUF !!!!!<br /> Pour l'appel aux dons, désolée je ne suis pas branchée MP3 mais je me ferai un plaisir de te porter en mains propres (enfin j'espère... pour les mains !!) les cd photos. L'agent X24 ne semble pas inquiète quant à l'endroit où ils se trouvent...<br /> A TRES VITE. Bises et garde nous un peu de "temps pas trop mauvais" pour fin décembre !!
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